Selon l'étude d'A. Babois, le missel était peut-être destiné à Saint-Martin de Tours (cf. la place du saint dans les litanies), mais selon N. Dinzart, il fut à l'usage de Marmoutier puis utilisé au 12e s. à Sainte-Marie d'Avon.
Les f. 208-210 comportant les peintures du Canon ont été ajoutés ultérieurement au ms. datant de la fin du 10e ou du début du 11e s. (initiales ornées dessinées à l'encre brune) ; cf. A. Babois. F. 208, Epître farcie de saint Etienne (add. 12e s.).